Les Alwegs sont, à la base, anti-racistes à l'extrême. Nous nous bornerons donc à donner l'avis du leader d'une unité mercenaire Alweg très célèbre (mais qui préfère garder l'anonymat pour ne pas risquer de compromettre d'éventuels contrats).
Les Batranobans :
Ce peuple domine l'épice et tant qu'il en sera ainsi, sera le maître de Tanaephis, même si l'intelligence des leaders les empêche de vouloir conquérir tout le reste.
Les Derigions :
Les Derigions sont un peuple décadent qui est amené à mourir, autant que cela se fasse le plus vite possible afin de permettre aux autres sociétés plus performantes d'étendre leurs territoires.
Les Gadhars :
Ces hommes à la peau mate sont les maîtres de leur domaine : la jungle. Il en a toujours été ainsi et rien ne pourra les empêcher de le faire, car tous les autres peuples sont trôp peu entrainés pour y survivre.
Les Hysnatons :
Les Hysnatons sont des "Alwegs" physiques alors que nous ne possédons que des différences mentales. Ce sont les dignes descendants (pour la plupart) des races maintenant disparues.
Les Piorads :
Les Piorads ne sont pas originaires de Tanaephis mais se sont particulièrement bien acclimatés aux conditions difficiles de vie sur notre continent. Ils méritent dons d'y vivre.
Les Sekekers :
Ce peuple n'est pas une race à part entière mais uniquement le regroupement de femmes qui ont créées de toutes pièces une société primitive. Même si cela pouvait avoir un sens il y a quelques centaines d'années, il est ridicule de voir encore de nos jours de tels individus fouler le sol de Tanaephis.
Les Thunks :
Ce peuple reste celui qui se rapproche, à mon avis, de la société humaine optimale (au moins dans ce monde barbare). Je les respecte donc beaucoup même si j'ai assez peu souvent l'occasion d'en cotoyer.
Les Vorozions :
Cet empire qui "monte" reste notre principal employeur et je me garderai bien d'en dire du mal. Mais le seul fait que certains nobles ou responsables de province fassent appel à nous parce que les troupes régulières ne sont pas arrivées à temps est en soi une faute stratégique que je qualifierai de critique.